Childhood Amusements: The Naughty Chicken

Hugo & Child RivetHe really enjoyed making up stories for little ones, as Jules Claretie tells us, and a gentleman, brought up in Victor Hugo‘s circle, has at home a copy of a tale he remembers very well. It is called ‘Pista, or the very naughty chicken.’

 

‘I can see them now,’ he told me recently, ‘the pen drawings with which Victor Hugo illustrated his story, on a big piece of writing paper divided into seven or eight boxes, and I can even remember some of the captions exactly [the poet included children in this fantastical story]:

 

1. Pista, the very naughty chicken, launches herself at Big Charles.
2. Wait! Here comes Toto to help his brother.
3. And Didine, following Toto.
4. And Dédé, following Didine.
5. And Cabbage-stalk, following Déde etc. etc.

 

And this is how Victor Hugo amused himself, this is how he amused his children, Charles, Victor, Léopoldine and Adèle.’
Later, when the children became parents themselves and Victor Hugo knew the joy of being a grandfather, he took up these old amusements again for the new generation…

 

At Hauteville House in Guernsey, too, where the poet had retired, many an enjoyable hour was given over to fun. For M Georges Victor-Hugo these are emotional memories. ‘These were the first happy moments of my life, when Papapa [that’s what they called their grandfather] played with us. He acted our age, spoke our language, liked what we liked. He ran, he laughed, he was full of life. We hid behind some big arm chairs; he spotted us there because he was bigger than they were. How huge he was, all dark below with, way up high, his smiling white face. Our games involved moving everything around and breaking everything, and we made forests out of chairs, forts out of tables, forests that we had to negotiate our way through and that he made real, a cave where he would hide roaring like a lion. We were scared, and our fear enchanted us. Papapa, happy and triumphant, would sweep up his little ones and kiss them, completely out of breath.

 

In the lamplight, after dinner, we would watch, in amazed admiration, the balancing tricks that our grandfather did with the cutlery. He made them turn fragile arabesques on the necks of bottles, so fragile that they looked as if they would come crashing down every time he gave them a push with his finger. But they kept on turning and never fell.’

 

To please his grandchildren, Victor Hugo did watercolors and sculpture—out of breadcrumbs in the quiet times during meals, and in clay when he sat them down beside him in the open air in the garden of his Guernsey house. Other times, he drew ‘good marks’ and ‘bad marks’ on bits of card. He was so soft towards his grandchildren that he could not think of exacting any other punishment than to give the little delinquent a small token —of disfavour. ‘And when we spotted, hidden under our plate, a long-eared donkey, devils with their greedy mouths full of fangs, whips held by a clenched fist — and especially—the shame of it!—a simple lone chamber pot, we flushed bright red and big tears fell down and stained the ‘black marks.’

 

[Le Journal de la jeunesse, July 1911]

Son divertissement, nous dit Monsieur Jules Claretie, était d’inventer pour ces petits des contes, et [un monsieur) élevé dans les milieux de Victor Hugo, possède en son château un récit dont il se souvient fort bien. «Ça s’appelle Pista, ou la poule très méchante. Je vois encore, m’écrivait-il naguère, les dessins, sur une grande feuille de papier écolier divisé en 7 ou 8 cases comme les images d’Épinal, dont Victor Hugo avec illustré son récit, et j’ai même le souvenir exacte de quelques de ces légendes (le poète mettait en scène des enfants dans cette fantastique histoire) :

 

  1. Pista, la poule très méchante se précipite sur le gros Charles.
  2. Mais voici Toto qui vient au secours de son frère
  3. et Didine qui suit Toto
  4. et Dédé qui suit des des in cinq et 30 millions de chou je
  5. suis Dédé etc. etc.

 

ainsi s’amuser aux gants ainsi divertissent est-il c’est le petit Charles, Victor, Léopoldine et Adèle. »
Plus tard quand les enfants furent devenu père à leur tour quand Victor Hugo qu’on est la joie d’être grand-père est repris pour les nouveaux arrivants les délassements d’autrefois.

 

Alors à Hauteville House à Guernesey aussi où c’était retirer le poète, c’étaient des heures charmantes et pleines d’abandon. Monsieur Georges Victor Hugo Ande à consacrer le souvenir dans quelques parages aimé. «Voici les premiers moments de bonheur de ma vie, alors que Papapa (c’est ainsi qu’ils appelaient leur grand-père) joue avec nous. Il se dans notre age, parle notre langue, aime ce que nous aimant. Il court, et il rit, il est exubérant. Nous nous cachons derriere des grands fauteuils et nous et découvre car il est encore plus grand qu’eux. Comme il est immense, tout noir en bas, avec, 13 ans, ça avec, très haut, ça riante face blanche un jour à tous déplacés à tout casser et nous formons des forêts avec les chaises des casernes avec les tables ferait qu’il nous faut parcourir et qui rend vrai, caverne où il se cache enregistrant quand même bien. Nous en avons peur, notre père nous enchante est pas papa, heureux et très enfants comme porte en porte c’est petit et les embrasse, tout essoufflé.

 

à la lueur de sa lampe, après le repas, nous regardions, avec une amie ainsi en stupéfaite jamais face à the race race saisie rassasie, les jeux d’équilibre que le grand-père faisait avec les couverts sur le goulot de bouteilles. Il former ainsi de fragile arabesque tournante c’est fragile quelle menacé de s’écrouler à chaque impression que papa leur donner de son doigt. Mais elle tourner longtemps et ne s’écrouler jamais. Pour charmer c’est petits-enfants, Hugo faisait de l’aquarelle. De la ce que Ture.,On ne mis de pain, pendant les loisirs du repas, en terre Gleize, content il es a Seiller à ses côtés en pleine est en planèrent, dans le jardin de la villa des gardes est prends d’autres fois, il dessiner sur des pièces Sexte carton des bons et des mauvais points. Car sa tendresse été c’est extrême qu’un Ohresser infliger d’entre punition qu’elle a la mise au Dalicans donne petit je t’en de défaveur. Et comme nous apercevions quand on, père fille de mon caché dans le fond de notre assiette, laLà Halles aux langues oreilles, les diables au bouche avide pleine de croque pointer, les fouets Hafla je l’ai tenu par un premier colère et surtout.